Jean Jouzel, Directeur de recherche au CNRS, laboratoire des sciences du climat et de l’environnement
Directeur de l’Institut Pierre-Simon Laplace, vice-président du groupe I du GIEC

Brigitte Le Grignou, Professeur à l’Université Paris Dauphine (rapporteur)

Erik Neveu, Professeur à l’Institut d’Etudes Politiques de Rennes

Isabelle Paillart, Professeur à l’Université Grenoble III (rapporteur)

Rémy Rieffel, Professeur à l’Université Paris II (directeur de thèse)

L'université Paris II n'entend donner aucune approbation ni improbation aux opinions émises dans cette thèse. Ces opinions doivent être considérées comme propres à leur auteur.

Epreuve solitaire, la thèse n’en demeure pas moins un cheminement collectif. Que ce soit sur un plan scientifique ou personnel, vous m’avez, d’une façon ou d’une autre, soutenu et aidé dans ce travail de quatre années.

Je souhaite tout d’abord remercier Monsieur Rieffel pour sa tolérance, sa sagesse et son attention régulière. Je suis également très reconnaissant à Matthieu Grossetête, car sans nos innombrables échanges, cette thèse serait loin d’être ce qu’elle est. Ce travail doit aussi beaucoup à Monsieur Darras, qui, il y a six ans, m’a donné goût à la recherche et à la rigueur scientifique. Enfin, les conseils, les relectures, les suggestions, et au-delà, la stimulation intellectuelle toujours appréciable apportés par Isabelle Charpentier, Dominique Marchetti, Sylvain Laurens, Julie Sedel, Vincent Goulet, Philippe Ponet, Jérémie Nollet, Julien Weisbein, Aurélie Marmu, Hugues Ravenel et Roei Davidson, ont également contribué à la réalisation de ce travail. Je voudrais aussi remercier Valérie Devillard, Josianne Jouët, Grégory Mercier, Guillaume Le Saulnier, et Gianni Gortan pour leur coopération au sein de CARISM.

Cette thèse n’aurait pas pu se faire sans la participation de toutes les personnes interrogées et observées. Leur disponibilité et leur coopération, généralement désintéressée, m’ont permis de mener à bien ce travail. Qu’elles en soient remerciées.

Merci à mes amis chers qu’ils soient du Béarn, rencontrés sur les bancs toulousains ou à Paris, pour leur reconnaissance, leur intérêt et surtout, leur soutien. Chers grands-parents, merci pour votre attention, vos encouragements et vos témoignages d’affection. Chers parents, chère Camille, cher Peyo, je vous remercie tout simplement de m’entourer tous les jours, cela même à quelques centaines de kilomètres. Enfin, Cécile, laisse moi te remercier pour tellement si ce n’est pour tout.